notes Phillips

DÉBAT - Est-il l’homme capable d’emmener Paris au sommet de l’Europe?...

Blanc au PSG, c'est quasiment fait. Et c'est forcément un soulagement pour les supporters parisiens, qui étaient sans coach fixe depuis maintenant un mois. Mais est-ce pour autant une acquisition satisfaisante? Malgré son titre de champion de France Bordeaux en 2009, le «Président» n'a pas forcément laissé que des bons souvenirs au Haillan. De même qu'en équipe de France, où il n'a pas réussi canaliser la jeune génération. Malgré tout, son bilan reste bon et son image d'entraîneur intacte. Suffisant pour réussir au milieu des stars du PSG? A vous d'en débattre dans les commentaires ci-dessous…

>> Blanc pourra-t-il gérer les stars du PSG? Est-il meilleur tactiquement qu'Ancelotti? N'est-il qu'une roue de secours? Débattez-en en commentaires…

L'ex-ministre Charles Pasqua a perdu vendredi 21 juin le procès en diffamation qu'il avait intenté l'eurodéputée (EELV), qui l'avait qualifié de "criminel" et d'"homme corrompu" en 2011.

Eva Joly avait tenu ces propos le 11 novembre 2011 lors d'un débat sur les ondes de France Inter, où Henri Guaino, alors conseiller spécial de , avait qualifié Charles Pasqua de "grand républicain".

"Cela, je ne peux pas le laisser dire", lui avait rétorqué Eva Joly.

Le tribunal correctionnel de Paris a estimé que la défense de Charles Pasqua n'a pas poursuivi en se fondant sur le bon article de loi.

Plusieurs condamnations pour Pasqua

Dans la mesure où les propos incriminés faisaient référence la condamnation de Charles Pasqua par la Cour de justice de la République (CJR), les juges ont estimé qu'il n'aurait pas dû poursuivre Eva Joly en tant que simple particulier, mais raison de la qualité de ministre qui était la sienne.

L'ancien ministre de l'Intérieur a été condamné en 2010 par la CJR un an de prison avec sursis pour complicité d'abus de biens sociaux et de recel dans une affaire de détournements de fonds au préjudice de la Sofremi, société sous tutelle du ministère de l'Intérieur.

Il a par ailleurs été condamné 18 mois de prison avec sursis en 2008 pour financement illégal de sa campagne des élections européennes de 1999.

En début d'année, Charles Pasqua a été jugé dans (...)

PARIS (Reuters) - Les délocalisations ont entraîné 20.000 suppressions de postes de 2009 2011 en France dans les sociétés marchandes non financières de plus de 50 salariés, selon une étude publiée vendredi par l'Insee.

Ce chiffre, équivalent environ 6.600 suppressions par an sur la période, représente 0,3% de l'emploi salarié en 2011 de l'ensemble des sociétés du champ et 4% de l'emploi de celles qui ont délocalisé, précise l'étude.

"La recherche de coûts plus bas, salariaux ou autres, est la motivation principale, suivie de la possibilité d'accéder de nouveaux marchés", écrivent ses auteurs.

Dans l'industrie manufacturière, 11.500 postes apparaissent supprimés en raison de délocalisations opérées entre 2009 et 2011, soit 0,6% de l'emploi salarié de l'ensemble des sociétés de l'industrie manufacturière du champ.

Selon l'étude, 4,2% des sociétés marchandes non financières de 50 salariés ou plus ont délocalisé des activités de 2009 2011. L'industrie manufacturière et les services de l'information et de la communication sont les plus concernés.

La destination privilégiée des délocalisations est l'Union européenne des quinze -les 15 pays membres les plus anciens de l'UE-, suivie de l'Afrique et des nouveaux Etats membres de l'UE, puis de la Chine et de l'Inde.

Jean-Baptiste Vey, édité par Gilles Trequesser